(musique d'ambiance) Beaucoup des problématiques qui nous occupent résonnent personnellement. C'est intime, notre famille, depuis ma toute première rencontre avec ma femme Angela. Elle m'a partagé son expérience, d'avoir grandi non seulement comme la fille d'une mère célibataire mais aussi comme sa soignante et activiste. Ma mère est atteinte de... ou du moins, son diagnostique est Trouble bipolaire de type I et trouble schizoaffectif Donc c'est un diagnostic plutôt sévère. En apprenant et en m'inspirant de l'expérience d'Angel au fil du temps Et de sa famille qui est toujours très impliquée pour ma belle-mère ça... ça m'a appris qu'elle elle va bien On peut dire qu'elle prospère. Donc il y a de l'espoir pour elle, pour tout le monde. On sait qu'il y a sûrement une forte demande dans le pays d'une amélioration des soins. Un besoin que les services liés à la santé mentale soient plus accessibles et de soin, vous savez... D'après les chiffres, c'était une épidémie avant l'épidémie de covid-19 Mais le Covid a vraiment mit en lumière ces besoins et exacerbée la crise. C'est avec un sentiment d'urgence que l'on souhaite prioriser cette conversation au Congrès, et particulièrement ici au Sénat. (musique enjouée) Bien sûr. Une grosse partie du crédit revient non seulement à ma collègue, la sénatrice Tina Smith, du parti Démocrate mais aussi à mes collègues Républicains, le sénateur Tillis et le sénateur Ernst. Nous quatre sommes, en quelque sorte les fondateurs de ce groupe. C'était important qu'il soit bipartisan. Les problèmes relèvent bien trop souvent des partis, assez vite et ça devient difficile de faire le moindre progrès du coup. mais, vous savez, les difficultés de santé mentale n'ont pas de limites C'est pas une question de rouge Ou de bleu C'est une question humaine. Et... Je les