Réunion Amara : Jana, Margarita, Allison et Jenny

À propos d’Amara :
Amara est un projet de la Participatory Culture Foundation (PCF). Nous créons des outils de sous-titrage et de traduction collaboratifs de contenu vidéo.

Apprenez à connaître l’équipe que fait fonctionner amara.org ! Tout d’abord, Jana, Margarita, Allison et Jenny nous parlent d’elles, pourquoi l’accessibilité compte et l’impact qu’elle espère qu’Amara puisse avoir.

Pour en savoir plus :
Site officiel d’Amara : https://www.amara.org/
Participatory Culture Foundation : https://www.pculture.org/
Facebook : https://www.facebook.com/Amara.PCF
Twitter : https://twitter.com/Amara_PCF
Le blog d’Amara : https://blog.amara.org/

Vidéo produite par : Kenzie Slottow
Musique : StoryBlocks (https://www.storyblocks.com/)

♪ (musique enjoué) ♪

(rire)

Bonjour, Je suis Jana.

Je gère les fonctions Comptabilité et RH.

Je m'appelle Margarita.

Je travaille comme Testeuse chez Amara.

Que faîtes vous pendant vos week-ends ?

Souvent du tennis de table ou du vélo
à l'une de nos belles plages locales.

J'aime cuisiner.

Et aussi, je fais du bénévolat.

Lire.

Lire.

Lire un livre intéressant.

Avez vous des plantes ou
des animaux de compagnie ?

(rire) J'ai six chiens.

Ils ont tous été sauvés,

donc je joue beaucoup avec mes chiens.

J'ai une fleur de lune,
que j'ai depuis des années..

C'est 'Lily Tomlin', aucun lien.

Qu’aimez-vous dans le travail chez Amara ?

Juste me lier avec les spectateurs.

Juste rendre la vie de quelqu’un plus
simple pendant le court instant

où ils lisent mes articles ou
quoi que ce soit d'autre.

A la fin du projet,
quand je le livre,

disons, une vidéo terminée
avec la légende et les sous-titres,

ça me rends vraiment,
vraiment satisfaite,

comme, "Oh maintenant nous
avons plus de vidéos

avec une légende et des sous-titres,
plus de gens y auront accès."

Absolument les gens.

Tout le monde est intéressé pour
rendre le monde meilleur, vraiment

c’est juste incroyable.

Tout le monde est motivé
d’une manière ou d’une autre

par toutes les missions d’Amara,

ce qui sert à assurer l’accessibilité

et aussi utiliser ses talents pour
partager des information avec les autres.

C’est une culture spéciale,

il n’y a pas vraiment de hiérarchie.

C’est vraiment un effort coopératif.

Nous sommes tous répartis géographiquement
et au niveau du temps

mais on trouve toujours du temps
pour les autres.

Quelles langues parlez-vous ?

(rire) Je ne parle couramment qu’Anglais

mais j’apprends la langue des signes
Américaine, le Russe.

La famille de mon conjoint viens de
l’ex Union Soviétique.

donc j’aimerais pouvoir parler aux autres
générations de cette famille.

Anglais et Espagnol sont mes
langues maternelles.

Ma langue maternelle est le Russe et
je parle Anglais au travail.

Cantonais et un peu de Mandarin.

J’ai aussi appris un peu d’Espagnol,
Allemand et Chinois.

Français et un petit peu d’Arabe

Je parle Anglais et à peu près

ça d’Espagnol.
(Rire)

Quizz rapide : quand est sortie la
première version d’Amara ?

Soit 2010 soit 2013 ?

2006 ?

2001 ?

Oui, non, je ne sais pas.
(rire)

2010.

C’est quand le premier prototype a
été créé.

J’en ai été témoin,

j’étais volontaire à Amara à cette époque.

Que signifie accessible pour vous ?

Que tout le monde ai les mêmes
opportunités

de comprendre le monde grâce à une vidéo

et grâce aux sous-titres
et la traduction qu’on fait,

et que les autres font,

sans limites.

Ça signifie beaucoup.

J’ai un implant cochléaire qui sont
une aide auditive.

Sans eux, je ne peux presque rien entendre

et avec eux, c’est convenable dans
une discussion à deux

mais pas si pratique quand on utilise
quelque chose de technique,

qu’on regarde des vidéos ou pour parler
au téléphone,

donc les sous-titres sont une bonne
alternative.

L’accessibilité, pour moi, commence
avec l’empathie.

Beaucoup de mes amis ne parlent pas
anglais,

donc pouvoir aider à transmettre
les informations

J’ai aidé à sous-titrer en espagnol,

si je peux partager ça avec
quelqu’uns de mes amis au Vénézuéla

ou ma famille, ou ma mère,

ça fait vraiment du bien.

Quels effets espérez-vous qu’Amara
aura sur le monde ?

L’acceptation et…

je veux dire, le monde est vraiment
un endroit difficile.

Communiquer, vous savez, juste
communiquer.

Quand on travaille tout les jours avec
autant de personnes

qui viennent de partout dans le monde,

on réalise simplement que les gens sont
différents mais similaire, de partout.

Je pense qu’il y a beaucoup de
potentiel inexploité

pour que cet outil soit utilisé par
d’autres types d’utilisateurs.

La transcription est un bon moyen

pour ceux qui on des problèmes de
vision de trouver du travail.

J’espère sincèrement que cela
va se produire.

Utiliser l’IA pour générer des sous-titres
et des légendes,

vous savez, c’est en hausse
depuis quelques années

et il y a eu beaucoup d’humour et
beaucoup de fautes,

et ça met vraiment en avant
l’importance des gens

dans le processus du langage
sous toutes ses formes.

J’espère que la manière dont
on traite les gens,

et la manière dont on met
leur expérience en premier

et leur capacités en premier,

sera remarquée et va inspirer

les autres pour dire que ça n’est
pas impossible à faire.

Sous titres français réalisés par
Lily-Rose