< Return to Video

GOD spoke to me in my PRISON CELL!!! | Life-Changing TESTIMONY

  • 0:00 - 0:04
    J'en avais assez de commettre des crimes; j'en avais assez de prendre de la drogue;
  • 0:04 - 0:08
    J'en avais assez de blesser les gens.
  • 0:08 - 0:11
    Personne n’a pu me montrer un moyen de changer.
  • 0:11 - 0:13
    J'étais comme un vampire des temps modernes.
  • 0:13 - 0:19
    Un vampire ne veut que du sang ; il ne s'intéresse à rien d'autre.
  • 0:19 - 0:25
    Quand j'étais toxicomane, je ne me souciais vraiment de rien d'autre dans ma vie.
  • 0:28 - 0:33
    Je savais sans l'ombre d'un doute que c'était Dieu qui me parlait –
  • 0:33 - 0:36
    d'un monde où Dieu n'existait pas.
  • 0:36 - 0:43
    PAROLES DE CŒUR
    TÉLÉ DU CŒUR DE DIEU
  • 0:43 - 0:50
    Bonjour, tout le monde. Je m'appelle Alan Andrews.
    Je viens d'une petite ville du sud du Pays de Galles.
  • 0:50 - 0:56
    Je dirige un centre appelé « Chooselife », un service d'intervention pour les toxicomanes et les alcooliques.
  • 0:56 - 0:59
    Je viens moi-même d'un milieu toxicomane.
  • 0:59 - 1:03
    Je comprends pourquoi j'ai fini par prendre de la drogue.
  • 1:03 - 1:07
    J'ai vécu des choses qui n'auraient pas dû se produire dans mon enfance :
  • 1:07 - 1:10
    violences physiques, verbales, sexuelles.
  • 1:10 - 1:16
    Je me sentais différent des autres. J'avais honte et j'étais plein de rejet.
  • 1:16 - 1:21
    Je me souviens d'un moment de ma vie où je me suis dit : « Je ne me sentirai plus rejetée. »
  • 1:21 - 1:24
    J'ai donc commencé à vivre une vie de rébellion.
  • 1:24 - 1:27
    J'ai commencé à voler à l'étalage à l'âge de dix ans.
  • 1:27 - 1:30
    J'ai été ramenée à la maison dans une voiture de police,
    au grand choc de mes parents.
  • 1:30 - 1:33
    Je suis dans une voiture de police :leur petit garçon de dix ans.
  • 1:33 - 1:36
    J'ai continué à commettre des crimes.
  • 1:36 - 1:39
    À 13 ans, j'étais complètement incontrôlable.
  • 1:39 - 1:46
    J'ai été placé dans une école agréée, renvoyé, ce qui n'a fait que renforcer le rejet intérieur.
  • 1:46 - 1:52
    Pour tout le monde, j'étais un sacré personnage qui s'en fichait complètement.
  • 1:52 - 1:55
    Mais au fond, je souffrais encore.
  • 1:55 - 2:00
    Être enfermé à 13 ans, loin de mes parents, a été vraiment difficile.
  • 2:00 - 2:04
    Mais je ne pouvais le montrer à personne, alors j'ai appris à ne pas montrer mes émotions.
  • 2:04 - 2:06
    Et j'ai construit ma vie autour de ça.
  • 2:06 - 2:13
    À 14 ans, j'ai été envoyé en centre de détention, ce qui a été un « choc bref et brutal ».
  • 2:13 - 2:17
    Dès que vous y entrez, les agents vous hurlent dessus.
  • 2:17 - 2:22
    Je me souviens d'être resté nu sur cette ligne blanche pendant environ deux heures,
  • 2:22 - 2:29
    avec les policiers qui vous insultaient, vous criaient dessus et vous terrifiaient.
  • 2:29 - 2:36
    Et ce souvenir est resté gravé en moi jusqu'à ce jour.
  • 2:36 - 2:42
    J'y suis resté six semaines et quatre jours. Je me souviens de ma sortie :
  • 2:42 - 2:47
    si je devais arrêter d'avoir des ennuis, ce serait à ce moment-là.
  • 2:47 - 2:50
    Mais je ne pouvais pas m'arrêter, car je n'avais personne autour de moi pour m'aider
  • 2:50 - 2:54
    à gérer les émotions que j'avais en moi, celles que je cachais
  • 2:54 - 2:59
    J'ai donc continué à commettre des crimes. À 15 ans, j'ai été renvoyé dans un établissement agréé.
  • 2:59 - 3:02
    J'y suis resté jusqu'à 16 ans.
  • 3:02 - 3:06
    Puis, à 17 ans, j'ai été envoyé dans une unité pour jeunes délinquants.
  • 3:06 - 3:12
    À 18 ans, j'ai été envoyé en maison de correction, un endroit où, à l'époque, on n'avait vraiment pas envie d'aller.
  • 3:12 - 3:20
    Et je suis devenu un garçon de maison de correction ; je m'y suis intégré.
    Je m'y suis intégré où que j'aille, juste pour survivre.
  • 3:20 - 3:25
    Une fois de plus, je tiens à souligner que j'éprouvais encore ces émotions intenses à l'intérieur.
  • 3:25 - 3:30
    mais qu'à l'extérieur, je devais être cette personne qui s'en fichait complètement.
  • 3:30 - 3:34
    Alors tous ceux qui me voyaient pensaient : « Ce type s'en fiche complètement. »
  • 3:34 - 3:39
    Mais à l'intérieur, j'étais brisé, complètement brisé.
  • 3:39 - 3:43
    J'ai fêté mes 18 ans à Borstal.
  • 3:43 - 3:48
    Je m'en suis sorti, j'ai vraiment essayé de ne pas avoir d'ennuis, mais je n'ai pas réussi à m'arrêter.
  • 3:48 - 3:55
    Parce que l'émotion, c'est « l'énergie en mouvement » ; elle doit toujours circuler.
  • 3:55 - 4:01
    Mais j'ai dû mettre des trucs pour l'arrêter, car je ne voulais vraiment pas la ressentir.
  • 4:01 - 4:04
    À cette époque, il n'y avait pas de drogue
    dans ma ville natale.
  • 4:04 - 4:08
    S'il y avait eu de la drogue quand j'avais 13 ans,
    j'aurais été un héroïnomane de 13 ans
  • 4:08 - 4:12
    S'il y avait eu de la drogue quand j'avais 13 ans,
    j'aurais été un héroïnomane de 13 ans
  • 4:12 - 4:17
    Je n'ai commencé à consommer de la drogue qu'à 20 ans,
    ce qui est assez tard de nos jours
  • 4:17 - 4:22
    parce que je vois des jeunes de 10, 11 ou 12 ans se droguer, fumer de la drogue,
  • 4:22 - 4:28
    prendre de la cocaïne – le crack est un truc très courant –
    mais ils n'étaient pas là.
  • 4:28 - 4:33
    Une fois que j'ai commencé – je me souviens
    j'étais à la prison de Shepton Mallet
  • 4:33 - 4:37
    Quand j'ai commencé à fumer de la drogue, et en deux mois,
  • 4:37 - 4:44
    je m'injectais de la drogue, parce que ça pouvait m'aider à ne plus rien ressentir.
  • 4:44 - 4:46
    Mais ce n'était que temporaire
    car il fallait en ingérer toujours plus
  • 4:46 - 4:51
    pour arrêter de ressentir – car cette énergie était toujours en mouvement,
  • 4:51 - 4:56
    l'émotion essayait toujours de se battre
    pour remonter à la surface.
  • 4:56 - 5:06
    Je suis devenu fou. J'étais fou avant la drogue, mais après, j'ai complètement perdu la tête.
  • 5:06 - 5:09
    J'étais comme un vampire des temps modernes.
  • 5:09 - 5:14
    Un vampire ne veut que du sang ;
    il ne s'intéresse à rien d'autre.
  • 5:14 - 5:20
    Quand j'étais toxicomane, je ne me souciais vraiment de rien d'autre dans ma vie,
  • 5:20 - 5:25
    si ce n'était que de me droguer pour effacer
    tout ce qui se passait dans ma vie.
  • 5:25 - 5:30
    J'ai même commis un vol à main armée
    dans la rue où j'habitais.
  • 5:30 - 5:34
    N'importe qui de bon sens planifierait
    un vol à main armée.
  • 5:34 - 5:39
    Ce n'était pas avec une arme, c'était avec une batte de baseball, en courant dans un magasin pour réclamer de l'argent.
  • 5:39 - 5:43
    Toute personne sensée irait le faire quelque part et le planifierait.
  • 5:43 - 5:45
    Je voulais juste ma prochaine dose.
  • 5:45 - 5:49
    Je n'ai pas pensé à ma deuxième dose,
    c'était ma prochaine dose.
  • 5:49 - 5:55
    J'ai commis ce vol à main armée, je m'en suis tiré, et j'ai fini en prison pour autre chose.
  • 5:55 - 5:59
    À ce moment-là, la prison était devenue un foyer.
  • 5:59 - 6:05
    Le problème avec la prison, c'est qu'elle vous prépare à l'internement.
  • 6:05 - 6:11
    C'était mon foyer. Je n'y avais plus peur. C'était un endroit sûr pour moi.
  • 6:11 - 6:18
    Mais même à ce moment-là, comme j'avais ces trucs en moi, je faisais des choses en prison.
  • 6:18 - 6:20
    Un membre du personnel se souvient de moi -
  • 6:20 - 6:24
    Je suis allé chez le médecin parce que je voulais plus de médicaments.
  • 6:24 - 6:30
    et quatre gardiens de prison m'ont emmené dans la cellule de déshabillage.
  • 6:30 - 6:33
    Je menaçais les médecins ;
    Je les volais.
  • 6:33 - 6:37
    Je me souviens qu'à l'hôpital,
    je savais où étaient rangés les médicaments.
  • 6:37 - 6:39
    Je les ai volés là bas.
  • 6:39 - 6:40
    J'étais juste hors de control.
  • 6:40 - 6:46
    On me mettait régulièrement au ban parce que je ne pouvais pas affronter les autres.
  • 6:46 - 6:51
    On me mettait régulièrement au ban parce que je ne pouvais pas affronter les autres.
  • 6:51 - 6:56
    parce que je n'avais aucune estime de moi.
  • 6:56 - 6:59
    Je me détestais. Je détestais ma vie.
  • 6:59 - 7:05
    Je me détestais et je n'avais aucune confiance en moi.
  • 7:05 - 7:10
    Je me souviens avoir été envoyé dans une prison appelée Erlestoke.
  • 7:10 - 7:13
    Je me souviens avoir été envoyé dans une prison appelée Erlestoke.
  • 7:13 - 7:17
    Il me restait six semaines de peine
  • 7:17 - 7:23
    mais j'avais juste besoin de plus de drogue et je me suis évadé de prison à six semaines de la fin.
  • 7:23 - 7:28
    Je ne me suis pas demandé : « Si je m'évade, pourquoi ferais-je encore 6 à 12 mois ? »
  • 7:28 - 7:33
    Je voulais juste une dose. Il fallait absolument que je sorte de prison.
  • 7:33 - 7:37
    Je suis sorti de cette prison, j'ai escaladé une clôture de 6 mètres de haut,
  • 7:37 - 7:40
    et je me souviens de la sensation au sommet de la clôture.
  • 7:40 - 7:45
    Quand on regarde une clôture en haut, elle ne paraît pas aussi haute que lorsqu'on la regarde en bas.
  • 7:45 - 7:49
    En regardant en bas, je me souviens avoir pensé : « Quand je sauterai d'ici,
  • 7:49 - 7:53
    si je tombe et me casse la jambe, j'aurai l'air d'un parfait idiot. »
  • 7:53 - 7:56
    Mais j'ai réussi à m'enfuir et à retourner dans ma ville natale.
  • 7:56 - 8:00
    Je ne suis resté dehors que dix jours, mais pendant ce temps, j'ai pris beaucoup de drogue
  • 8:00 - 8:04
    et j'en ai même ramené une cargaison en prison, ce qui était mon intention.
  • 8:04 - 8:09
    Ça ne me dérangeait pas de devoir faire six mois de plus.
  • 8:09 - 8:13
    Évidemment, il faut punir et j'ai été envoyé à la prison de Dartmoor.
  • 8:13 - 8:19
    À l'époque, la prison était le lieu où la société envoyait ceux qui enfreignaient les règles.
  • 8:19 - 8:23
    Dartmoor était un endroit où les prisons envoyaient les prisonniers qui enfreignaient les règles.
  • 8:23 - 8:29
    C'était un véritable gouffre, au milieu de nulle part, dans les landes de Dartmoor,
  • 8:29 - 8:31
    à un endroit appelé Princetown.
  • 8:31 - 8:34
    Et, apparemment, il y a un signe gravé dans la pierre -
  • 8:34 - 8:37
    Il a été construit pour les prisonniers de guerre français -
  • 8:37 - 8:43
    et il est écrit en latin :
    « Abandonnez tout espoir, vous tous qui entrez. »
  • 8:43 - 8:47
    Et c'était comme si j'étais arrivé à une destination qui correspondait à ce que je ressentais.
  • 8:47 - 8:50
    J'avais abandonné tout espoir de changer un jour,
  • 8:50 - 8:55
    J'avais abandonné tout espoir de changer un jour,
  • 8:55 - 8:57
    Je n'y pensais jamais.
  • 8:57 - 9:02
    C'était si loin de ma vie.
  • 9:02 - 9:05
    Je pensais juste que j'allais passer le reste de ma vie en prison.
  • 9:05 - 9:09
    Et je me souviens d'être à Dartmoor -
  • 9:09 - 9:11
    il y avait des prisonniers effrayants là-bas.
  • 9:11 - 9:17
    Les gens te poignardaient ou te battaient pour rien.
  • 9:17 - 9:21
    Je me souviens avoir pensé :
    « Regarde tout le chemin que j'ai parcouru dans la vie. »
  • 9:21 - 9:24
    Parce que j'étais encore ce petit garçon rejeté à l'intérieur.
  • 9:24 - 9:28
    Mais extérieurement, je pensais devenir comme ces -
  • 9:28 - 9:31
    Je deviendrais comme tous ces fous d'ici.
  • 9:31 - 9:34
    Et ça a été une véritable révélation.
  • 9:34 - 9:40
    Et la première fois que j'ai entendu quelqu'un parler de Dieu, mon ami « Artie » -
  • 9:40 - 9:44
    J'avais reçu une lettre d'un autre ami disant : « Artie est à fond sur Dieu. »
  • 9:44 - 9:48
    Et je ne me suis pas demandé : « Dieu ? Que fait-il ? Il est fou ?
  • 9:48 - 9:49
    Je me suis dit : « Tant mieux pour lui ».
  • 9:49 - 9:54
    Et j'ai commencé à prier, ce n’était pas une prière stupide , mais je n’avais jamais prié.
  • 9:54 - 9:58
    Je n’avais aucune connaissance
    en dehors de la vie que je menais.
  • 9:58 - 10:00
    Et j'ai commencé à dire ces prières,
  • 10:00 - 10:06
    "Quand je m'allonge pour dormir, je prie le Seigneur de garder mon âme…"
  • 10:06 - 10:09
    Evidemment, Dieu commençait quelque chose en moi.
  • 10:09 - 10:11
    La dernière nuit à la prison de Dartmoor,
  • 10:11 - 10:15
    même si je détestais ça,
    j'avais peur d'être libéré
  • 10:15 - 10:19
    Parce que je savais que j'en avais marre de commettre des crimes.
  • 10:19 - 10:24
    J'en avais marre de prendre de la drogue,
    et j'en avais marre de faire du mal aux gens.
  • 10:24 - 10:27
    Mais personne ne pouvait me montrer comment changer.
  • 10:27 - 10:29
    J'ai toujours voulu changer.
  • 10:29 - 10:32
    Et je n'ai jamais rencontré de toxicomane qui ne veuille pas changer.
  • 10:32 - 10:39
    Je ne les ai jamais rencontrés.
  • 10:39 - 10:43
    J'ai dû être libéré, mais je ne voulais pas, car j'étais en sécurité là-dedans.
  • 10:43 - 10:46
    Aussi fou que ce soit, c'était comme un zoo.
  • 10:46 - 10:50
    Aussi fou que ce soit, j'étais en sécurité là-dedans.
  • 10:50 - 10:53
    Bref, je suis sorti de là, je suis devenu complètement dingue de drogue.
  • 10:53 - 10:54
    Je m'injectais de la drogue.
  • 10:54 - 11:01
    Je cambriolais des pharmacies,
    je faisais toutes sortes de choses et
  • 11:01 - 11:05
    je me suis retrouvé dans cette maison et ils ont commencé à me parler de Jésus.
  • 11:05 - 11:09
    Et je les ai « pétés ».
    Je les ai insultés et j'ai dit :
  • 11:09 - 11:11
    « Où était-il quand c'est arrivé ? »
  • 11:11 - 11:14
    Quand cet abus a eu lieu,
    où était-il ? »
  • 11:14 - 11:18
    Je n'ai pas utilisé ces mots gentils
    mais un langage beaucoup plus fort.
  • 11:18 - 11:20
    Et ils ont dit : « Vous devez
    demander à Jésus d'entrer dans votre vie. »
  • 11:20 - 11:24
    Et apparemment, j'ai prié la prière du pécheur.
  • 11:24 - 11:29
    Je ne m'en souviens pas, ce qui est une première,
    car la plupart des gens se souviennent
  • 11:29 - 11:36
    d'avoir prié la prière du pécheur ; je ne m'en souviens pas, mais apparemment, si.
  • 11:36 - 11:39
    À partir de ce moment,
    les choses ont commencé à changer.
  • 11:39 - 11:45
    Je me souviens d'avoir commis ce cambriolage,
    et j'étais en train de couper les fils téléphoniques.
  • 11:45 - 11:46
    Et cette pensée m'est venue.
  • 11:46 - 11:51
    J'ai eu des montées d'adrénaline sous l'effet des drogues les plus folles, des montées où les poils
  • 11:51 - 11:56
    se dressaient sur mes mains et où je vibrais intérieurement.
  • 11:56 - 11:58
    J'ai eu une montée d'adrénaline incroyable.
  • 11:58 - 12:02
    Une pensée m'est venue et c'était : « Je te surveille. »
  • 12:02 - 12:05
    Et cette montée d'adrénaline a traversé
    mon corps et j'ai su
  • 12:05 - 12:10
    sans l'ombre d'un doute
    que c'était Dieu qui me parlait.
  • 12:10 - 12:13
    Je venais d'un monde où Dieu n'existait pas.
  • 12:13 - 12:18
    J'ai continué le cambriolage, mais cette idée m'est restée en tête : ce qui s'était passé.
  • 12:18 - 12:21
    Alors j'ai continué à commettre des crimes,
    et de temps en temps,
  • 12:21 - 12:24
    quelqu'un parlait de Dieu.
  • 12:24 - 12:29
    Et Artie, mon ami, est venu nous voir, moi et la fille avec qui j'étais à l'époque.
  • 12:29 - 12:34
    On est allés à l'église, et je ne dirais pas
    qu'il s'est passé quelque chose, mais à ce moment-là,
  • 12:34 - 12:39
    J'avais aussi des pensées folles, des pensées assez effrayantes.
  • 12:39 - 12:44
    Et j'avais peur de les mettre à exécution : la violence et d'autres choses.
  • 12:44 - 12:48
    Et mon compagnon m'a dit : « La Bible dit de prendre toute pensée captive pour obéir à Christ. »
    J'ai dit : « Alors, qu'est-ce que tu veux dire ? »
  • 12:48 - 12:50
  • 12:50 - 12:54
    « Eh bien, dis simplement à tes pensées de s'arrêter au nom de Jésus. »
  • 12:54 - 12:58
    Me voilà donc chez moi, non chrétienne,
  • 12:58 - 13:04
    à me dire : « Au nom de Jésus, arrête ! »
  • 13:04 - 13:07
    Quand je l'ai vu, j'ai dit :
    « Ça marche, ça marche ! »
  • 13:07 - 13:09
    Ces ​​pensées allaient s'arrêter.
  • 13:09 - 13:14
    Et, visiblement, Dieu était à l'œuvre.
  • 13:14 - 13:18
    Je me suis retrouvée de nouveau en prison.
  • 13:18 - 13:23
    Cette fois, c'était lui qui me tenait.
    La « course-poursuite » était lancée.
  • 13:23 - 13:27
    Je me souviens, comme je l'ai dit,
    que je volais à l'hôpital là-bas
  • 13:27 - 13:30
    et j'ai réussi à mettre la main
    sur un sac rempli de médicaments.
  • 13:30 - 13:32
    Les « vis » sont entrés dans ma cellule.
  • 13:32 - 13:37
    Ils n'ont pas trouvé les médicaments ;
    nous en avions pris la plupart.
  • 13:37 - 13:39
    J'ai été emmené en cellule de déshabillage.
  • 13:39 - 13:44
    Je suis assis dans la cellule de déshabillage avec
    un short en caoutchouc
  • 13:44 - 13:46
    pour éviter de couper ses vêtements
    pour se pendre,
  • 13:46 - 13:49
    même s'il n'y a pas de fenêtres, donc impossible de se pendre de toute façon.
  • 13:49 - 13:54
    Je me souviens d'être assis là, me demandant :
    « Où suis-je allé ?
  • 13:54 - 13:58
    Jusqu'où vais-je aller dans la vie ? »
  • 13:58 - 14:00
    On n'a le droit de rester là-dedans que six heures.
  • 14:00 - 14:04
    Alors ils sont venus me chercher et ils m'ont mis au quartier disciplinaire.
  • 14:04 - 14:08
    La cellule de déshabillage est dans le quartier, mais le quartier n'est qu'une cellule.
  • 14:08 - 14:12
    C'est toujours une cellule de punition,
    mais pas comme la cellule de déshabillage.
  • 14:12 - 14:14
    Normalement, ils la vident.
  • 14:14 - 14:18
    Quand le prisonnier quitte le quartier, ils vident complètement la cellule.
  • 14:18 - 14:22
    Eh bien, je suis entré dans la cellule et il y avait
    un tas de livres – des livres chrétiens.
  • 14:22 - 14:27
    Et il y en avait un de Frank Constantino,
    un gangster américain.
  • 14:27 - 14:33
    Alors j'ai commencé à lire ce livre, comment il avait rencontré Dieu et Jésus, et j'ai commencé En pleurs.
  • 14:33 - 14:38
    Je n'ai jamais pleuré parce que j'ai passé ma vie à cacher ce que je ressentais.
  • 14:38 - 14:42
    Et dès que j'ai commencé à pleurer, j'ai commencé à donner des coups de pied dans la porte de la cellule.
  • 14:42 - 14:45
    Et ce « sale » est arrivé, Barry.
  • 14:45 - 14:48
    J'ai dit : « Remettez-moi dans cette cellule de déshabillage ! »
  • 14:48 - 14:50
    Parce que je ne pouvais tout simplement pas
    gérer l'émotion.
  • 14:50 - 14:52
    Et il a dit : « Tiens, Andy, prends une clope »
  • 14:52 - 14:54
    et il m'a donné une cigarette pour fumer et me calmer.
  • 14:54 - 14:58
    Alors je suis retourné en cellule et j'ai continué à lire le livre,
  • 14:58 - 15:02
    je suis retourné sur le palier,
    puis j'ai continué à devenir fou.
  • 15:02 - 15:06
    Mais toutes les deux semaines, cette pensée me traversait l'esprit :
  • 15:06 - 15:09
    « Tu ne sortiras pas d'ici
    tant que tu ne viendras pas à moi. »
  • 15:09 - 15:12
    Et je disais : « Oh oui, j'arrive. »
  • 15:12 - 15:13
    Et j'allais prendre de la drogue.
  • 15:13 - 15:19
    Et deux semaines plus tard, « Tu ne sortiras pas d'ici tant que tu ne viendras pas à moi. »
  • 15:19 - 15:24
    Je parlais à un Dieu que je ne connaissais pas et en qui je ne croyais même pas.
  • 15:24 - 15:27
    Alors un jour, j'ai eu cette pensée instantanée :
  • 15:27 - 15:29
    « Je veux être envoyé »,
    c'est-à-dire être envoyé dans une autre prison.
  • 15:29 - 15:32
    À l'époque, il y avait une liste d'attente de trois mois.
  • 15:32 - 15:35
    Je suis allé à ce qu'on appelle l'affectation.
  • 15:35 - 15:39
    Et Barry, cet officier, était là et
    je lui ai dit : « Barry, je dois sortir d’ici. »
  • 15:39 - 15:42
    Il m’a dit : « Tu pars mardi. »
  • 15:42 - 15:46
    Je suis donc allé à la prison de Channings Wood, qui était semi-ouverte,
  • 15:46 - 15:48
    où l’on pouvait se promener à l’intérieur.
  • 15:48 - 15:54
    L’un des principaux bâtiments de cet endroit était l’église.
  • 15:54 - 16:00
    J’ai donc commencé à y aller et j’ai entendu parler des chrétiens nés de nouveau.
  • 16:00 - 16:05
    Je lisais ma Bible et je la lisais pendant trois jours.
  • 16:05 - 16:09
    Je fumais encore de l’herbe et d’autres drogues, mais je lisais ma Bible.
  • 16:09 - 16:12
    Puis je la jetais en pensant que c'était un tas d'absurdités.
  • 16:12 - 16:17
    Puis je retournais à l'église, reprenais ma Bible et la lisais.
  • 16:17 - 16:19
    Puis je la jetais en pensant que c'était un tas d'absurdités.
  • 16:19 - 16:25
    Et, un jour, je lisais la Bible et elle disait : « Si un homme ne peut pas se faire pousser un pied, pourquoi s'inquiéter de la moindre chose ? »
  • 16:25 - 16:29
    À l'époque, je prenais du Valium sans ordonnance.
  • 16:29 - 16:33
  • 16:33 - 16:37
    J'étais horrible avec le médecin. Je le menaçais : « Je veux plus de drogue ! »
  • 16:37 - 16:43
    Alors j'ai dit : « Bon, si c'est vrai, pourquoi s'inquiéter pour la moindre chose ? Enlève-moi mon Valium. »
  • 16:43 - 16:47
    Et à ce moment-là, mon envie de Valium a disparu.
  • 16:47 - 16:50
    J'ai arrêté d'aller chercher mon Valium trois fois par jour.
  • 16:50 - 16:55
    Le médecin a dû penser que j'avais « perdu la tête » ou quelque chose comme ça.
  • 16:55 - 16:57
    Ce n'était qu'un début.
  • 16:57 - 17:03
    Un jour, j'ai sauté de mon lit et j'ai dit :
    « Je ne m'arrêterai pas tant que je ne t'aurai pas trouvé. »
  • 17:03 - 17:07
    Et en disant ça... je ne savais rien du Saint-Esprit.
  • 17:07 - 17:10
    Je ne savais rien du baptême du Saint-Esprit.
  • 17:10 - 17:13
    Je ne savais rien du christianisme.
  • 17:13 - 17:20
    Mais à ce moment-là, je sais maintenant que le Saint-Esprit est venu et m'a remplie.
  • 17:20 - 17:23
    J'ai littéralement eu l'impression que Jésus entrait dans mon corps.
  • 17:23 - 17:32
    Je pleurais à chaudes larmes – de belles larmes, pas des larmes horribles.
  • 17:32 - 17:35
    Et quel soulagement !
  • 17:35 - 17:40
    Mais en même temps, j’ai eu cette
    révélation que Jésus était vivant.
  • 17:40 - 17:44
    Après cette expérience, j’étais « fou ».
  • 17:44 - 17:45
    Je faisais le tour de la prison…
  • 17:45 - 17:49
    Un instant, je suis toxicomane,
    je cours partout pour me procurer de la drogue,
  • 17:49 - 17:53
    et tout d’un coup, je me retrouve à parler de Jésus à tout le monde.
  • 17:53 - 17:57
    Et je crois qu’ils ont cru que j’avais pété les plombs.
  • 17:57 - 18:04
    Je me souviens qu’aux bains publics,
    je chantais « Jésus m’aime ».
  • 18:04 - 18:10
    Ils pensaient que j'avais « perdu la tête ».
    Et je comprends pourquoi !
  • 18:10 - 18:13
    J'avais hâte de retourner en cellule, car dans ma cellule,
  • 18:13 - 18:18
    dès que j'y étais, je pleurais.
  • 18:18 - 18:21
    C'est comme cette émotion qui avait guidé ma vie,
  • 18:21 - 18:25
    qui m'avait poussé à faire des choses
    dont j'ai honte,
  • 18:25 - 18:30
    qui m'avait enfermé dans des cellules de déshabillage –
    toute cette émotion ressortait.
  • 18:30 - 18:35
    Alors j'allais travailler dans les ateliers et
    j'avais hâte de retourner en cellule,
  • 18:35 - 18:40
    parce que pour moi, je sais que Jésus était en moi,
    mais Il était surtout dans ma cellule.
  • 18:40 - 18:45
    Et des choses étranges ont commencé à m'arriver – des choses spirituelles.
  • 18:45 - 18:48
    Je sais maintenant que c'étaient des choses démoniaques.
  • 18:48 - 18:53
    Parce que j'ai découvert dans la vie que partout où il y a une douleur traumatique,
  • 18:53 - 18:55
    le diable en profite.
  • 18:55 - 19:01
    Et là, j'étais dans une cellule, avec des choses qui ne se seraient jamais produites auparavant.
  • 19:01 - 19:03
    Je pensais devenir folle.
  • 19:03 - 19:08
    Trois jours plus tard, trois jours après ma nouvelle naissance, je me suis fait interner en psychiatrie
  • 19:08 - 19:13
    car je pensais devenir fou.
  • 19:13 - 19:18
    Parce que tout cela, que je sais maintenant
    être démoniaque, se produisait.
  • 19:18 - 19:22
    Je me souviens d'avoir été dans cette cellule,
    dans l'unité psychiatrique, et d'avoir pensé :
  • 19:22 - 19:26
    « J'ai perdu la tête ; j'ai complètement perdu la tête. »
  • 19:26 - 19:28
    parce que j'avais ces
    manifestations.
  • 19:28 - 19:31
    Je n'avais personne autour de moi pour me parler.
  • 19:31 - 19:35
    Je me souviens avoir écrit une lettre à
    ma petite amie de l'époque, disant :
  • 19:35 - 19:40
    « Écoute, je ne peux pas retourner dans ma ville natale. Il m'est arrivé quelque chose. »
  • 19:40 - 19:45
    Je perds la tête. J'ai perdu la tête.
    J'ai des pensées spirituelles qui me viennent à l'esprit.
  • 19:45 - 19:48
    Et, désolé, je ne peux pas rentrer à la maison.
  • 19:48 - 19:50
    Et la lettre était là.
  • 19:50 - 19:55
    La minute suivante, le médecin,
    que je terrifiais pour qu'il arrête de prendre des médicaments,
  • 19:55 - 19:59
    est entré et s'est assis sur mon lit et
    il a demandé : « Qu'est-ce qui ne va pas ? »
  • 19:59 - 20:00
    J'ai dit : « Je ne peux pas vous le dire. »
  • 20:00 - 20:02
    Il a dit : « Qu'est-ce qui ne va pas ? Dites-le-moi. »
  • 20:02 - 20:03
    J'ai dit : « Je ne peux pas vous le dire. »
  • 20:03 - 20:06
    Il a dit : « S'il vous plaît, dites-moi ce qui ne va pas ? »
  • 20:06 - 20:08
    Alors je lui ai donné la lettre.
  • 20:08 - 20:12
    Il l'a lu et a dit :
    « Je suis un chrétien né de nouveau. »
  • 20:12 - 20:15
    C'était le premier chrétien que je rencontrais
  • 20:15 - 20:18
    qui comprenait ce que je traversais.
  • 20:18 - 20:21
    Et je suis sorti de prison.
  • 20:21 - 20:28
    Je me souviens avoir conduit une voiture en me demandant :
    « Devrais-je taxer et assurer cette voiture ? »
  • 20:28 - 20:34
    J'avais vécu tellement en dehors de la loi que je ne savais tout simplement pas comment la respecter.
  • 20:34 - 20:39
    Alors j'ai garé la voiture, j'ai économisé de l'argent et j'ai payé les taxes et l'assurance.
  • 20:39 - 20:43
    Et des petites choses comme ça : si je savais que c'était mal, j'essayais de bien faire les choses.
  • 20:43 - 20:45
    Puis ma vie a commencé à prendre son sens.
  • 20:45 - 20:51
    J'ai rejoint l'église – une église très solidaire qui recevait des gens pour nous aider.
  • 20:51 - 20:57
    Nous n'avions absolument rien – mon partenaire et moi au moment de notre mariage.
  • 20:57 - 21:00
    Nous n'avions rien et un bébé était attendu.
  • 21:00 - 21:04
    Des membres de l'église sont venus avec un nouveau lit bébé,
  • 21:04 - 21:09
    une machine à laver, et ils ont pris soin de nous et nous ont aimés.
  • 21:09 - 21:12
    Au fil des ans, les gens venaient me voir et me disaient :
  • 21:12 - 21:15
    « Ta vie a changé. Comment la mienne ?»
  • 21:15 - 21:19
    Je répondais simplement : « Eh bien, j’ai demandé à Jésus d’entrer dans ma vie. »
  • 21:19 - 21:26
    J’avais cinq personnes à la fois vivant chez moi, toutes sevrées de l’héroïne et d’autres drogues –
  • 21:26 - 21:27
    ce que je ne recommanderais à personne.
  • 21:27 - 21:31
    Mais à cette époque, c’était la voie que j’étais amené à suivre.
  • 21:31 - 21:39
    Et, à cette époque, l’église où j’étais a acquis une grande et vieille usine.
  • 21:39 - 21:43
    J'en ai demandé une partie, qui était
    un vieux hangar avec des trous dans le toit,
  • 21:43 - 21:48
    un toit en amiante, etc. – et c'est là que nous avons lancé « Chooselife ».
  • 21:48 - 21:53
    Comme je l'ai dit, « Chooselife » est un service d'intervention en matière de toxicomanie et d'alcoolisme.
  • 21:53 - 21:56
    Cela fait 28 ans maintenant.
  • 21:56 - 22:01
    Nous avons vu des gens de tous horizons venir nous voir – beaucoup de gens.
  • 22:01 - 22:02
    Le monde souffre.
  • 22:02 - 22:09
    Il y a tellement de familles sans père, de familles sans mère, de maltraitance.
  • 22:09 - 22:13
    Vous n'imaginez pas les histoires de violence physique, verbale et sexuelle
  • 22:13 - 22:21
    que j'entends quotidiennement ; ils souffrent.
  • 22:21 - 22:29
    Malheureusement, nous avons vu des gens qui ont fait de bons choix, puis de moins bons.
  • 22:29 - 22:31
    Et ils ont fait une overdose.
    Ils ne sont plus parmi nous.
  • 22:31 - 22:34
    C'est la réalité du travail avec les personnes sous l'emprise de la drogue et de l'alcool.
  • 22:34 - 22:40
    Mais nous avons aussi vu des personnes qui étaient accros à l'héroïne, au crack,
  • 22:40 - 22:45
    et quand on les voit rencontrer Jésus –
    le Jésus que je connais,
  • 22:45 - 22:50
    le Jésus qui vient vous libérer
    et vous aimer inconditionnellement,
  • 22:50 - 22:53
    non pas en fonction de ce que vous faites,
    mais en fonction de ce qu'Il a fait –
  • 22:53 - 22:58
    quand on voit la vie des gens changer
    comme ça, c'est absolument incroyable.
  • 22:58 - 23:04
    J'ai de très bons amis dont la vie a été transformée.
  • 23:04 - 23:08
    J'adore ce que je fais ici
    au quotidien.
  • 23:08 - 23:10
    On fait ça depuis 28 ans.
  • 23:10 - 23:14
    Pas un seul jour je ne me suis réveillé en pensant :
    « Oh, il faut que j'aille à Chooselife aujourd'hui. »
  • 23:14 - 23:17
    J'adore ce que je fais.
  • 23:17 - 23:19
    Et quelqu'un a dit que
    si on aime ce qu'on fait,
  • 23:19 - 23:21
    on n'a plus jamais besoin de travailler
    de sa vie.
  • 23:21 - 23:26
    Je refuse d'appeler ce que je fais du travail.
    Oui, je suis payé pour ça.
  • 23:26 - 23:31
    Mais j'aime ce que je fais ici : voir la vie des gens se transformer.
  • 23:31 - 23:36
    Mais aussi aimer les personnes
    que la société rejette.
  • 23:36 - 23:40
    Nous proposons un repas chaud tous les jours
    à emporter.
  • 23:40 - 23:45
    Nous disposons d'un hébergement de 31 lits dans la communauté.
  • 23:45 - 23:53
    Nous soutenons simplement les gens, nous les aimons, en espérant qu'un jour,
  • 23:53 - 24:01
    ils trouveront un moyen de gérer le traumatisme (normal) de l'enfance
  • 24:01 - 24:04
    qu'ils ont caché toute leur vie.
  • 24:04 - 24:08
    Et un traumatisme infantile peut être une chose simple comme la séparation d'un père et d'une mère,
  • 24:08 - 24:14
    jusqu'à l'extrême, la violence physique,
    verbale ou sexuelle.
  • 24:14 - 24:17
    Chaque personne est différente et
    nous gérons les choses différemment.
  • 24:17 - 24:22
    Mais surtout quand on voit Dieu
    s'occuper de la douleur passée de quelqu'un,
  • 24:22 - 24:26
    il n'y a rien de plus beau que de le voir devenir entier et complet.
  • 24:26 - 24:29
    Croyez-moi, là où il y a des choses qui se sont produites dans votre vie,
  • 24:29 - 24:34
    le diable n'a besoin que d'un petit espace
    parce qu'il veut y entrer.
  • 24:34 - 24:41
    Et je connais des gens qui travaillent dans ce domaine, qui y évoluent.
  • 24:41 - 24:46
    Jetez un œil à ce ministère : God’s Heart TV, que j'ai découvert.
  • 24:46 - 24:48
    Frère Chris a prié pour moi par le passé.
  • 24:48 - 24:51
    Il existe d'autres ministères.
  • 24:51 - 24:54
    Recherchez votre guérison et
    recherchez votre délivrance.
  • 24:54 - 25:00
    Parce que la Bible dit que Jésus est venu pour détruire les œuvres du diable.
  • 25:00 - 25:02
    C'est la raison pour laquelle il est venu.
  • 25:02 - 25:08
    Il n'est pas venu pour vous réconforter.
    Il est venu pour vous libérer.
  • 25:08 - 25:13
    Il est venu pour détruire les œuvres du diable.
    Et croyez-moi, il peut le faire.
  • 25:13 - 25:17
    Qui que vous soyez aujourd'hui,
    où que vous regardiez ceci,
  • 25:17 - 25:21
    personne n'est trop loin de l'amour de Dieu.
  • 25:21 - 25:24
    Parce que l'amour de Dieu peut vous atteindre,
    où que vous soyez.
  • 25:24 - 25:25
    Il est venu me voir dans la cellule de prison.
  • 25:25 - 25:28
    Il avait la clé de ma cellule et est entré.
  • 25:28 - 25:32
    Il m'a emmenée - je ne suis plus la personne que j'étais.
  • 25:32 - 25:39
    Cela fait 33 ans. C'est ma 33e année,
    j'entre dans ma 34e année...
  • 25:39 - 25:41
    Je n'ai pas pu rester hors de prison pendant six semaines.
  • 25:41 - 25:48
    En fait, six semaines ont été l'une des plus longues que j'ai passées hors de prison. 33 ans !
  • 25:48 - 25:52
    S'Il peut m'atteindre, Il peut vous atteindre.
  • 25:52 - 25:55
    Ce n'est pas un Dieu « religieux » ; c'est un Dieu d'amour.
  • 25:55 - 26:00
    C'est un Dieu qui vous aime inconditionnellement.
  • 26:00 - 26:03
    Je n'ai pas grand-chose de plus à dire, si vous le lui demandez…
  • 26:03 - 26:07
    Je lui ai demandé : « Jésus, si tu es là,
    viens toucher ma vie. »
  • 26:07 - 26:10
    Vous pouvez dire exactement la même chose.
  • 26:10 - 26:14
    Vous connaissez peut-être quelqu'un qui
    a un problème de drogue ou d'alcool,
  • 26:14 - 26:20
    et c'est tellement prenant ! Cela consume
    toute la famille.
  • 26:20 - 26:24
    Et généralement, vous souffrez plus que le toxicomane, car il est ivre en train de vivre cela.
  • 26:24 - 26:27
    et on me demande tout le temps : « Comment gérer notre fils, notre fille ? »
  • 26:27 - 26:34
  • 26:34 - 26:37
    Et tout d'abord, il faut fixer des limites
  • 26:37 - 26:41
    pour se protéger et protéger les autres membres de sa famille.
  • 26:41 - 26:46
    Vous pouvez prier pour cette personne,
    l'aimer.
  • 26:46 - 26:49
    Mais l'amour et la discipline
    doivent aller de pair.
  • 26:49 - 26:51
    On ne peut pas se contenter d'aimer et de donner.
  • 26:51 - 26:58
    J'entends des mères dire : « Je lui ai donné 10 livres pour l'empêcher de voler ; je lui ai donné ceci… »
  • 26:58 - 27:01
    En fin de compte,
    l'amour et la discipline vont de pair.
  • 27:01 - 27:05
    « Je prendrai toujours soin de toi.
    Je t'aimerai toujours. »
  • 27:05 - 27:07
    Mais jusque-là, pas plus loin.
  • 27:07 - 27:11
    Vous devez vous discipliner
    en tant que famille
  • 27:11 - 27:20
    et, en fin de compte, avoir confiance que Dieu désire que le membre de votre famille soit en relation avec Lui
  • 27:20 - 27:23
    bien plus que vous ne le souhaiterez jamais.
  • 27:23 - 27:24
    Il est donc à l'œuvre.
  • 27:24 - 27:28
    Il y a une chanson qui dit : « Il travaille même quand vous pensez qu'il ne travaille pas. »
  • 27:28 - 27:30
    Il est toujours à l'œuvre.
  • 27:30 - 27:34
    Et Il attirera votre fils
    ou votre fille à Lui,
  • 27:34 - 27:40
    et Il transformera le désordre en message.
  • 27:40 - 27:44
    Vous ne le verrez peut-être pas, mais cela arrivera.
  • 27:44 - 27:46
    Continuez simplement à croire que cela va arriver.
  • 27:46 - 27:49
    En attendant, votre rôle est d'aimer votre fils ou votre fille
  • 27:49 - 27:52
    d'une manière qui vous protège en tant que famille.
Title:
GOD spoke to me in my PRISON CELL!!! | Life-Changing TESTIMONY
Description:

more » « less
Video Language:
English
Team:
God's Heart TV
Duration:
28:22

French subtitles

Incomplete

Revisions Compare revisions