GOD spoke to me in my PRISON CELL!!! | Life-Changing TESTIMONY

J'en avais assez de commettre des crimes; j'en avais assez de prendre de la drogue;

J'en avais assez de blesser les gens.

Personne n’a pu me montrer un moyen de changer.

J'étais comme un vampire des temps modernes.

Un vampire ne veut que du sang ; il ne s'intéresse à rien d'autre.

Quand j'étais toxicomane, je ne me souciais vraiment de rien d'autre dans ma vie.

Je savais sans l'ombre d'un doute que c'était Dieu qui me parlait –

d'un monde où Dieu n'existait pas.

PAROLES DE CŒUR
TÉLÉ DU CŒUR DE DIEU

Bonjour, tout le monde. Je m'appelle Alan Andrews.
Je viens d'une petite ville du sud du Pays de Galles.

Je dirige un centre appelé « Chooselife », un service d'intervention pour les toxicomanes et les alcooliques.

Je viens moi-même d'un milieu toxicomane.

Je comprends pourquoi j'ai fini par prendre de la drogue.

J'ai vécu des choses qui n'auraient pas dû se produire dans mon enfance :

violences physiques, verbales, sexuelles.

Je me sentais différent des autres. J'avais honte et j'étais plein de rejet.

Je me souviens d'un moment de ma vie où je me suis dit : « Je ne me sentirai plus rejetée. »

J'ai donc commencé à vivre une vie de rébellion.

J'ai commencé à voler à l'étalage à l'âge de dix ans.

J'ai été ramenée à la maison dans une voiture de police,
au grand choc de mes parents.

Je suis dans une voiture de police :leur petit garçon de dix ans.

J'ai continué à commettre des crimes.

À 13 ans, j'étais complètement incontrôlable.

J'ai été placé dans une école agréée, renvoyé, ce qui n'a fait que renforcer le rejet intérieur.

Pour tout le monde, j'étais un sacré personnage qui s'en fichait complètement.

Mais au fond, je souffrais encore.

Être enfermé à 13 ans, loin de mes parents, a été vraiment difficile.

Mais je ne pouvais le montrer à personne, alors j'ai appris à ne pas montrer mes émotions.

Et j'ai construit ma vie autour de ça.

À 14 ans, j'ai été envoyé en centre de détention, ce qui a été un « choc bref et brutal ».

Dès que vous y entrez, les agents vous hurlent dessus.

Je me souviens d'être resté nu sur cette ligne blanche pendant environ deux heures,

avec les policiers qui vous insultaient, vous criaient dessus et vous terrifiaient.

Et ce souvenir est resté gravé en moi jusqu'à ce jour.

J'y suis resté six semaines et quatre jours. Je me souviens de ma sortie :

si je devais arrêter d'avoir des ennuis, ce serait à ce moment-là.

Mais je ne pouvais pas m'arrêter, car je n'avais personne autour de moi pour m'aider

à gérer les émotions que j'avais en moi, celles que je cachais

J'ai donc continué à commettre des crimes. À 15 ans, j'ai été renvoyé dans un établissement agréé.

J'y suis resté jusqu'à 16 ans.

Puis, à 17 ans, j'ai été envoyé dans une unité pour jeunes délinquants.

À 18 ans, j'ai été envoyé en maison de correction, un endroit où, à l'époque, on n'avait vraiment pas envie d'aller.

Et je suis devenu un garçon de maison de correction ; je m'y suis intégré.
Je m'y suis intégré où que j'aille, juste pour survivre.

Une fois de plus, je tiens à souligner que j'éprouvais encore ces émotions intenses à l'intérieur.

mais qu'à l'extérieur, je devais être cette personne qui s'en fichait complètement.

Alors tous ceux qui me voyaient pensaient : « Ce type s'en fiche complètement. »

Mais à l'intérieur, j'étais brisé, complètement brisé.

J'ai fêté mes 18 ans à Borstal.